Ayant une carrière professionnelle de plus de 30 ans dans différents secteurs d’activités, et à différents niveaux, diplômée Assistante en psychologie (psychologie du travail) depuis 17 ans, je suis passionnée par les relations humaines et l’évolution de l’être dans son environnement

Je suis spécialisée dans l’insertion professionnelle avec un degré élevé de succès. Formée et expérimentée dans la gestion des conflits interpersonnels, cela fera la différence dans mon approche orientée solution.  En effet, le relationnel n'est pas opposé à une approche orientée solution ! Au contraire.

Une évolution professionnelle, quelle qu’elle soit, nous confronte à nos résistances et celles de notre entourage. Sensibilisée à une approche globale et locale, je suis certifiée en design de la permaculture (qui prend en compte l'humain dans son environnement), ainsi qu'à une méthode spécifique d’accompagnement professionnel « Individual Placement and Support » (IPS).

Je vous accompagne de manière pluridimensionnelle, tenant compte de votre rythme, en passant par des phases plus intensives au besoin afin de relever les défis professionnels, qui peuvent être liés à l’arrière-plan à la vie personnelle et familiale. En fonction des besoins de l’intensité du coaching individuel, le prix de la consultation peut varier, et être dégressif. Je propose une demi-heure d’entretien gratuit afin de faire connaissance et de poser les premiers jalons.

Faire ce qu on aime

Les pièges de la collaboration et le Burn out

Poignee collaboration

Voyez-vous un lien entre les deux ?

Si savoir collaborer est une compétence relationnelle, interpersonnelle ou encore sociale, elle est certainement un atout sur un CV, et nécessaire dans la société en général, que ce soit au niveau professionnel, comme dans la vie personnelle, privée.

Mais, comment est-ce que cette compétence peut aboutir au Burn out ?

  • Quand il y a une incohérence entre les valeurs intrinsèques du travailleur et les valeurs véhiculées par la société
  • Quand l’investissement à la collaboration n’est pas reconnu, du moins, il y a un déséquilibre entre votre investissement et la contrepartie,
  • Quand la collaboration aboutit à du non-sens. Quand ce à quoi collabore le travailleur, perd de sa consistance,
  • Quand il y a un écart trop grand entre la définition même de ce qu’est la collaboration au sein d’une organisation, et comment c’est vécu ou ce qui est attendu,

Le besoin d’être en lien avec les autres, de se sentir utile à travers une activité, fait partie d’un besoin de base.

En effet, plus on est en accord avec ce que l’on exprime et ce qu’on peut manifester en tant que travailleur au travers de la collaboration au sein de l’entreprise (en tant qu’employé, ouvrier ou indépendant), plus le bien-être est présent, et plus la santé au  travail est favorisée.

Plus largement, je vous invite à vous poser la question « à quoi je collabore ? ». Le « je » qui représente votre individualité, votre pensée, vos émotions, vos aspirations, vos besoins, etc.

Plus la réponse est claire à cette question, plus vous pourrez agir sur ce qui « fait tension », ce qui vous provoque du stress, de l’inconfort, voire de la violence.

Ne restez pas seul face à ces questions, ces situations de travail.

Des professionnels (coach, thérapeute, psy) sont là pour vous accompagner pour éviter le Burn-out, ou à en sortir.

Des tests de personnalité, et après ?

Bien que les tests puissent donner une photo dans un temps T d’un point vue X, dans un contexte Y, cela peut néanmoins nous aider à nous situer dans ce que l’on peut appeler la « moyenne ». Les résultats peuvent parfois surprendre, ou nous conforter. Tant que le résultat peut engendrer une réflexion et un positionnement, l’objectif est rempli pour un chercheur d’emploi. En effet, s’ il y a des zones aveugles, des choses que nous ne savons pas de nous-mêmes, un test, s’il est bien fait, peut les révéler. Tenons compte que le résultat est réalisé à un temps T, l’évolution permet d’autres résultats dans un autre contexte, après d’autres vécus.

Que pouvons-nous faire des résultats des tests ?

« Ce qu’on ne veut pas savoir de soi-même finit par arriver de l’extérieur comme un destin ». Carl Gustav Jung

Autant rester conscient de son destin, autant que possible du moins, que de laisser les autres forger notre vie, et vivre nos rêves. Agir en conscience est le départ, même si nous ne maîtrisons pas tous les tenants et aboutissants.

L’accompagnement permet de sortir de sa zone de confort, parfois inconfortable, pour fouler un nouveau chemin d’accomplissement de soi.

Chemin paysage

A quoi sert la peur ?

Button help

« A rien ! » Vous allez me dire. Et pourtant…

Elle nous enseigne où ne plus mettre les pieds, où ne pas s’aventurer au prix d’une expérience désagréable. Prenez par exemple : traverser la route sans regarder, sauter dans le vide, etc.

Je vous accorde, ce sont des exemples faciles, sauf que…

Si la peur est un réflexe de survie, elle nous indique de prendre soin de notre besoin de protection.

Oui, et alors ?

C’est essentiel de le savoir dans une relation de manipulation. L’auteur des faits peut parfaitement jouer sur la corde sensible de la peur de l’autre. Fin observateur, il a sait comment va réagir la victime. Il connaît LE bouton où appuyer.

Pour la personne qui subit, réaction n’est pas action…

Là où l’action est possible, se situe dans la conscience de ce qui « se joue ». Avec la prise de recul et la conscience de CE bouton interrupteur de réaction (un point sensible chez soi), plutôt que d’action, il est possible de développer d’autres attitudes tout à fait inattendues et libératrices.

Si vous sentez que la peur vous fait réagir de manière parfois épidermique, prenez du recul, faites-vous aider afin de rependre le dessus sur la situation.

Le besoin de contrôle est un besoin vital, tout dépend de l’intention de l’auteur et de l’intensité de ce besoin qui en fait une énergie destructrice contre cet Autre (la vie d’autrui), ou une énergie constructive et protectrice de la vie.

Dans le second cas, j’accueille ce qui me fait peur, je l’apprivoise, j’essaie de comprendre ce qui me fait peur et j’agis en conscience pour répondre à ce besoin de protection. Prenons un exemple de la vie active : j’arrive à un nouveau poste, je ressens la peur de l’inconnu. Je pourrais fuir et repartir dès le premier jour. En conscience, j’essaie de comprendre ce dont j’ai besoin pour agir sans risques (ou risques calculés) au sein de ce nouveau poste. Je pose des questions, prends les informations et dispositions nécessaires et utiles.

Ce mécanisme est vrai dans tous les domaines de la vie.

Accueillez la peur, elle nous donne des indications.

Réduire les tensions?

Mauvaise idée si on n’en tire pas des enseignements !

 

Qu’en pensez-vous ?

Stress relax

Vous avez des questions ?

Date de dernière mise à jour : 21/11/2024